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On parle de Recherche et Avenir dans les médias…

– 2016/2015 –

 

 

 

La Tribune PACA – 3 septembre 2016 – (Laurence Bottero)
Un déploiement national pour RUE ? Le dispositif Rapprochement Université Entreprise, porté par l’association Recherche et Avenir, basée à Cannes, affiche des résultats de mises en relations entre chercheurs et entreprises satisfaisants. Au point d’éveiller l’intérêt du Medef. Et d’envisager de dupliquer l’idée au niveau hexagonal.
C’est une bataille de longue haleine tant le monde de l’entreprise et celui de la recherche semblent éloignés l’un de l’autre. Pourtant, de la mise en commun de leurs problématiques et de leurs compétences naissent des solutions qui permettent aux unes d’être plus performantes ou de laisser davantage de place à l’innovation et aux jeunes chercheurs de mettre un pied dans l’entreprise, cet univers tant éloigné du leur. En PACA, cette bataille du rapprochement pertinent est portée par l’association Recherche et Avenir, qui a établi Rapprochement Université Entreprise (RUE), un dispositif pensé pour faire des deux manques, une valeur ajoutée pour chacun.

 

OnePlace2B – 1 décembre 2016
Interview de Stéphanie Godier pendant le salon des “Entreprenariales”

 

 

 

La Tribune PACA – 28 avril 2016 – (Laurence Bottero)
Voilà l’exemple même du rapprochement intelligent entre la recherche et le monde de l’entreprise. D’un côté, Data Moove, start-up sophipolitaine née il y a deux ans et spécialisée dans la gestion de flux touristique. De l’autre, Eurecom, l’école d’ingénieurs et centre de recherche. Le go-between, c’est l’association azuréenne REA et sa directrice générale Stéphanie Godier, qui milite justement pour que le monde de la recherche et celui de l’entreprise se connaissent vraiment afin de ne pas laisser les innovations sur une étagère ou dans un tiroir.

La Tribune PACA – 29 janvier 2016 – (Laurence Bottero)
Stéphanie Godier : “Il faut encourager la mixité entre le monde académique et le monde économique”
L’astrophysicienne Stéphanie Godier estime que les étudiants doivent être familiarisés avec le monde économique afin de mieux essaimer l’innovation. Rendre ces deux mondes qui s’ignorent curieux l’un de l’autre, parce que c’est aussi la meilleure façon de faire passer l’innovation de la théorie à la pratique, tel est l’objectif de cette astrophysicienne, directrice générale de Recherche et Avenir, une association “militante”. Il existe aujourd’hui des plateformes technologiques inconnues des entrepreneurs et plus particulièrement de ceux qui travaillent sur l’innovation. Comment expliquer cette méconnaissance ? Les plateformes technologiques sont des outils de pointe, développées par le public et qui ont du mal à se faire connaître des entreprises. Le monde académique, de manière générale, a du mal à faire la promotion de ses produits.

La Tribune PACA – 3 novembre 2015 – (Laurence Bottero)
Le docteur est prêt à révolutionner le monde
Le docteur et l’entreprise, voilà un thème pris à bras-le-corps par la communauté française des docteurs dont la journée nationale s’est déroulée ce 2 novembre à Marseille. Un sujet que connaît bien la directrice générale de l’association azuréenne Recherche et Avenir.
La 2ème journée nationale de la communauté française des docteurs aborde cette année le thème des docteurs comme clé de l’innovation. Cela signifie que le docteur n’est pas encore suffisamment reconnu comme une vraie valeur ajoutée à l’entreprise ? 
Les jeunes docteurs en particulier et le doctorat en général ont besoin d’être identifiés et reconnus. Pas seulement parce que les docteurs sont un peu les parents pauvres parmi les hauts diplômés mais aussi pour qu’ils s’organisent en communauté, allient leurs forces et prennent conscience d’une valeur commune à faire valoir.

Association Nationale des Docteurs ANDES 2 novembre 15
A cheval entre la recherche fondamentale et une application ciblée du monde industriel ou plus largement économique, les doctorants se retrouvent dans ce projet à une position clef pour pouvoir s’insérer dans le monde économique.
A travers ce dispositif RUE, ils deviennent des acteurs majeurs de l’innovation dans les entreprises qu’elle soit technologique, processus ou marketing et ainsi du renforcement économique régional. La position qui leur est donnée ici, dans le démarrage des projets collaboratifs laboratoire-entreprise, favorise leur positionnement dans leur activité future à des postes de leader.

Tribune Bulletin Côte d’Azur – 8 mai 2015 – (Isabelle Auzias)
Des chercheurs parlent aux entreprises REA comme Recherche Et Avenir : une structure qui propose de sceller les relations entre mondes économique et scientifique. Loin d’être une sinécure… Elle s’appelle Anne-Laure Rollet, s’illustre dans la physique/chimie au CNRS, dirige une équipe de recherche à l’Université Pierre et Marie Curie, et vient de prendre la présidence de REA alors que l’association boucle sa première décennie d’activité. Une association qu’elle soutient depuis ses débuts, du temps où deux astrophysiciennes fort bien lunées avaient eu l’idée, pour mieux insé- rer les docteurs et doctorants (la différence est dans le point final de la thèse…) dans la vie économique ou académique, de faire le lien avec des entreprises en mal d’innovation. Nous étions alors en 2005. Depuis? Valorisation de la recherche, éducation et culture, rapprochement laboratoires/PMETPE, insertion des jeunes diplômés qu’elle accompagne vers l’emploi, et surtout dispositif RUE (Rapprochement Université Entreprise), les missions s’enchaînent sur un créneau porteur;

CCI Nice Côte d’Azur – 9 avril 15
Le dispositif RUE Pour booster l’innovation au cœur des territoires
RUE – RAPPROCHEMENT UNIVERSITE-LABORATOIRES- ENTREPRISES- agit comme un « trait d’union » entre « les acteurs des mondes économiques et académiques ». Le projet – démarré au printemps 2014 et s’est s’achevé dans sa phase expérimentale au 30 octobre 2014 – a démontré l’intérêt collectif de la démarche puisqu’il a reçu le soutien des collectivités territoriales, de la recherche publique, de l’Université mais aussi des instances nationales du MEDEF et de l’UIMM qui l’ont adoubé. Les résultats encourageants de cette phase pilote ont poussé les acteurs à poursuivre la démarche en 2015.

Les Petites Affiches – 17 mars 15
Pour booster l’innovation au cœur des territoires L’UPE06, le Medef, l’UIMM, F2i, la DRRT, la CCI NCA, BPI France, l’UNS et sa Fondation UNICE, PERSAN et trois collectivités territoriales du département (MNCA, CASA, CAPG) se sont regroupés pour lancer le projet pilote RUE – Rapprochement Laboratoires-Entreprises afin de faire bénéficier les entreprises des Alpes-Maritimes des compétences et ressources des laboratoires et de valoriser la recherche publique auprès du monde industriel, en adéquation avec les orientations de l’ANR et du programme européen H2020.

Ce dispositif vise à aider le développement des PME et TPE du Département grâce à une collaboration active des laboratoires publics et universitaires. Il a été initialisé au sein de la Commission Enseignement Supérieur Innovation Recherche (ESIR) de l’UPE06, dont les président et vice-président sont Laurent Londeix et Stéphanie Godier, après avoir fait le constat que la puissance de recherche publique du département était insuffisamment mise à disposition des PME et TPE en quête d’innovation comme source de développement. Il est porté par l’Association Recherche et Avenir (REA).

CCI Nice Côte d’Azur – 5 novembre 2014
En cette année de l’Innovation dans les CCIs, la CCI Nice Côte d’Azur s’est associée à une initiative portée par l’ensemble des acteurs économiques et académiques du département pour rapprocher des entreprises, les 5000 chercheurs de la recherche publique présents dans les Alpes-Maritimes.
Ce rapprochement vise à favoriser la croissance et l’innovation des entreprises en les faisant bénéficier de la capacité de recherche et de l’expertise de laboratoires, ceci à un coût minimal compte tenu des mécanismes et des aides permettant de financer cette collaboration.

Journal des Entreprises – 4 juillet 14 (Gaëlle Cloarec)
« La SATT comme les pôles de compétitivité constituent des dispositifs intéressants et complémentaires, mais ils concernent des projets généralement bien avancés et n’arrivent pas à toucher tous les publics, notamment les TPE qui connaissent peu cet environnement et manquent de temps pour accéder à l’information », constate Stéphanie Godier de l’association Recherche et Avenir, vice-présidente de la commission Enseignement supérieur, Innovation et Recherche de l’UPE 06. Aussi, l’organisation patronale azuréenne a-t-elle lancé un projet pilote de rapprochement Laboratoires-Entreprises pour évangéliser ces partenariats, source de financement pour les laboratoires, d’avantages concurrentiels pour les entreprises et de création de valeur pour le territoire. « Nous nous positionnons en amont des dispositifs existants, en allant sur le terrain, à la rencontre des chercheurs et des entreprises pour écouter leur projet et proposer le bon partenaire », reprend la vice-présidente. Avec 70 laboratoires et 5.000 chercheurs, le département des Alpes-Maritimes est en la matière particulièrement bien doté…