Vous êtes ici : Recherche et Avenir » Médias 2017

On parle de Recherche et Avenir dans les médias…

– 2017 –

 

Monster.fr – 11 décembre 17
Le monde de l’entreprise offre plus d’opportunités d’emploi aux jeunes docteurs que celui de la recherche publique. Un monde à découvrir, pas à diaboliser. Pour un jeune docteur, rejoindre une entreprise revient à vendre son âme au diable. Vraiment ? « Dans 90 % des cas, les doctorants souhaitent rester dans la recherche publique, le formatage académique leur convient. Ils ne connaissent pas du tout le monde de l’entreprise qu’ils voient très compétitif », constate Stéphanie Godier, PhD en sciences de l’univers, directrice générale de Recherche et Avenir, et chef de projet du dispositif RUE de Rapprochement Laboratoires-Entreprises.

Ecommerce.Monster.fr – 8 décembre 17 – (Sophie Girardeau)
Les PhD, des profils dont l’entreprise a besoin pour innover
Les capacités d’analyse des jeunes docteurs (PhD), leur compréhension des systèmes sont une valeur ajoutée dans un contexte qui pousse les entreprises à innover.

 

Newsletter UPE 06 –  octobre 17
Dans le cadre de son action pour le Développement Economique, l’UPE06 soutient l’Enseignement Supérieur, l’Innovation et la Recherche, notamment les initiatives qui permettent de rapprocher le monde académique du monde de l’entreprise. Le dispositif Rapprochement Laboratoires-Entreprises (RUE) porté par REA permet aux entreprises de bénéficier de l’expertise des laboratoires.
Objectif ? Booster l’innovation !

La Tribune (PACA) – 12 sept 17 – (Laurence Bottero)
Dans la famille du transfert de technologies, Rapprochement Université Entreprise porté par l’association Recherche et Avenir, basée à Cannes, prend le contrepied des dispositifs existants en poussant le monde économique à aller vers le monde académique.
Généralement, c’est plutôt le monde de la recherche qui va vers le monde entreprenarial. C’est même le sens du transfert de technologie, de la paillasse à l’entreprise et les SATT (Société de transfert de technologies) sont exactement là pour ça. […] Proactive sur le sujet d’amener les TPE/PME vers le monde de la recherche pour des résultats concrets, RUE pourrait se voir étendu au niveau régional. D’autant que ce dispositif original s’inscrit dans le Stratégie régionale d’intelligence économique et que son côté “proactif” va dans le sens de promouvoir l’innovation régionale. Parce qu’il n’y a pas que les incubateurs ou les accélérateurs pour la faire germer…

Journal des Entreprises – 30 aout 17 – (Gaëlle Cloarec)
Pour d’autres, il s’agit de faire avancer des projets au service du territoire. A l’instar de Stéphanie Godier, directrice de l’association, à l’origine du dispositif RUE qui vise à rapprocher le monde universitaire (et plus particulièrement ses laboratoires de recherche) des entreprises pour pousser l’innovation ou encore résoudre des problèmes technologiques…

 

 

Magazine Azur Entreprises – Mai/Aout 17 – (Gaëlle Cloarec)
Le dispositif européen RUE favorise le rapprochement entre labos de recherche et entreprises, une initiative qui comporte son lot de success stories sur la Côte d’Azur. Comment transformer en innovation pour les entreprises, la puissance d’une recherche publique française dont l’excellence est internationalement reconnue ? Comment rapprocher le monde académique de celui des entreprises et mettre le temps long des chercheurs en prise avec le temps court de la mise sur le marché d’un produit ? C’est à ces questions que répond le dispositif européen RUE (Rapprochement Université Entreprises) porté sur la Côte d’Azur par Recherche et avenir. Présidée par Stéphanie Godier, l’association a su apporter un maillon supplémentaire dans la chaîne de l’innovation : en amont des SATT (Société d’Accélération du Transfert des Technologies), et au contact direct des équipes de recherche, elle fait le lien entre les besoins des entreprises en matière d’innovation et les travaux engagés dans les laboratoires des Alpes-Maritimes. Un ticket qui s’avère gagnant. Son efficacité ? Ce sont les entreprises qui en témoignent le mieux…

Journal des Entreprises – 19 juin 17 – (Gaëlle Cloarec)
Lancé en 2014 par l’association Recherche et Avenir, le dispositif RUE œuvre au rapprochement des entreprises et laboratoires de recherche publics sur le territoire azuréen. Et bientôt plus largement en Paca. Lorsque les Laboratoires Pronutri sollicitent en 2014 le dispositif RUE (pour Rapprochement Université Entreprise), celui-ci n’en est alors qu’à ses premiers balbutiements. Près de trois ans plus tard, l’opération pilote azuréenne initiée par la commission ESIR de l’UPE 06 a pris du galon et s’inscrit désormais dans une dimension régionale. « La SATT comme les pôles de compétitivité constituent des dispositifs intéressants et complémentaires, mais ils concernent des projets généralement bien avancés et n’arrivent pas à toucher tous les publics, notamment les TPE qui connaissent peu l’environnement académique et manquent de temps pour accéder à l’information », précise Stéphanie Godier, présidente de l’association Recherche et Avenir, porteur du dispositif RUE qui cherche donc à évangéliser ces partenariats de recherche publics privés, sources de financement pour les laboratoires, d’avantages concurrentiels pour les entreprises et de création de valeur pour le territoire. « Nous nous positionnons en amont des dispositifs existants, en allant sur le terrain, à la rencontre des chercheurs et des entreprises pour écouter leur projet et proposer le bon partenaire ».

Journal des Entreprises – 19 juin 17 – (Gaëlle Cloarec)
Le petit poucet des compléments alimentaires azuréens, Pronutri (5,5 millions d’euros de chiffre d’affaires pour 20 collaborateurs), s’attaque à une problématique de taille, celle des effets secondaires liés aux traitements de chimiothérapie. Un sujet ambitieux pour lequel le fabricant carrossois, spécialiste des oligo-métaux et expert dans la gestion d’information cellulaire, s’est associé dès 2014 au Laboratoire de Physio Médecine Moléculaire (LP2M), unité mixte de recherche CNRS/UNS, grâce au dispositif RUE qui oeuvre au rapprochement des entreprises et des laboratoires de recherche académiques sur le territoire azuréen. Alors que le partenariat liant les deux entités touche à sa fin, retour avec Amalric Véret, président des Laboratoires Pronutri, sur une initiative « aux résultats très positifs », qu’il entend bien poursuivre, voire dupliquer sur d’autres sujets de recherche…

Petites Affiches – 7mars17 – (Valérie Noriega)
Ce dispositif vise à aider le développement des PME et TPE du Département grâce à une collaboration active des laboratoires publics et universitaires. Il a été initialisé au sein de la Commission Enseignement Supérieur Innovation Recherche (ESIR) de l’UPE06, dont les président et vice-président sont Laurent Londeix et Stéphanie Godier, après avoir fait le constat que la puissance de recherche publique du département était insuffisamment mise à disposition des PME et TPE en quête d’innovation comme source de développement. Il est porté par l’Association Recherche et Avenir (REA). Il s’agit par ce dispositif de rapprochement laboratoires / PME en particulier :
– d’accroître les opportunités de rencontres entre monde économique et monde académique de renforcer la fréquence des liens entre le monde de la recherche et la monde économique.
Afin de faire bénéficier les PME /TPE de la compétence R&D des laboratoires régionaux les aider à développer leur activité et se différencier par l’innovation…

Sophia Mag – mars 2017 – (Janny Plessis)
RUE est un dispositif initié par des organismes institutionnels et académiques et piloté par Recherche et Avenir, pour aider les TPE et PME des Alpes-Maritimes à se rapprocher d’un laboratoire de recherche et développer un projet commun. Stéphanie Godier, forte d’un profil d’astrophysicienne et professeur à l’Université inter-âge de Nice, porte ce dispositif qui a vu le jour en 2014. « C’était une phase pilote au démarrage. Deux ans après, nous avons 44 partenariats de signés et un budget de 90 000 euros. Quand vous imaginez qu’il y a 10 000 docteurs formés chaque année et que peu trouvent un emploi correspondant à leurs capacités, nous sommes devant un vrai problème », explique Stéphanie.